Eric Kaiser, artiste peintre

Galerie de l'artiste

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Série : Traces
Exposition personnelle à la Galerie Socles et Cimaises (Nancy) du 23 septembre au 8 novembre 2013


Série : Witkacy un point de départ...2017
En participant à cette exposition collective, j'ai voulu faire un clin d'oeil à la fabrique de portrait du peintre polonais Witkacy (1885-1939). Mes portraits questionnent le genre du portrait par l'introduction d'éléments surprenants qui déplacent le regard sur autre chose que la personne représentée. Dans la série des portraits de collectionneurs j'ai fusionné des détails d’œuvres des artistes collectionnés et leurs collectionneurs (C. Saatchi, B. Arnaud et F. Pinault). Le portrait langue verte est un prétexte pour s'amuser de l'expression qui caractérise quelqu'un qui parle crûment et Quikséksé est un portrait sans visage.


Série : Travaux d'atelier 2016
Travaux d'atelier réalisés à Nancy et à Dresde en Aout 2016


Série : Abris
Le thème de l’abri fut motivé par les événements français de l’hiver 2006, couverts par les médias, qui mobilisa l’association des Enfants de Don Quichotte aux côtés des sans-domicile-fixe, des sans-abris, d’exclus de la société. Eric Kaiser allie ici préoccupations sociales contemporaines et représentation classique du portrait. Parmi les personnages représentés , on compte des anonymes, qui pourraient être un sans-abri ou le visiteur, mais aussi des célébrités politiques, religieuses, culturelles : le président iranien Ahmadinejad , le Pape Benoit XVI, Beckett… En associant des personnalités à des anonymes, il universalise ce besoin d’abri.


Série : Je(ux) d'(h)ivers
La production artistique présentée est le fruit d’une résidence de trois mois réalisée durant l’hiver 2014, au sein de la Halle 14 à la Spinnerei de Leipzig (Allemagne) avec le soutien du Conseil Général de Meurthe et Moselle, de la ville de Nancy et de la banque CIC Est. Ce travail illustre comment un lieu, une histoire ou une ego-histoire, une actualité peuvent se télescoper dans le processus créatif et se matérialiser sur la toile ou le papier.


Série : Memoires
Aux préoccupations politiques et sociales des précédentes séries («Abris» et «on sait mais…») succède une série plus onirique faisant référence à la Suissitude et à la surabondance d’images propre à notre époque. L’inquiétante étrangeté dans la combinaison des éléments est, selon la perception du spectateur, soit renforcée soit contrebalancée par la figuration de la mise scène et par l’harmonie des couleurs. Ainsi se développe un discours pictural figuratif au sens multiple entre souvenirs, rêves et citations.


Série : Portrait
Des envies de portrait ? N'hésitez pas à prendre contact avec l'artiste...


Série : Prisonniers de la lumière
(Exposition à la Galerie Pi de Kansas City (USA) en août 2005)
Le nu masculin est à nouveau le sujet de cette série dans laquelle les corps sont presentés comme prisonniers de l'espace peint. Un espace dont on devine l'ouverture vers la "lumière". Cette lumière imprime sur les corps les contours de barreaux qui sont peut-être ceux d'une fenêtre ou ceux d'une prison. L'ambiguïté de l'origine de la lumière se retrouve aussi dans la tension qui anime le sujet peint. S'agit-il d'une tension extatique d'origine spirituelle ou charnelle ou encore d'une tension douloureuse infligée par un hypothétique bourreau ? C'est au spectateur de choisir sa lecture, un choix qui pourra varier selon l'intensité lumineuse du lieu d'exposition des oeuvres.
L'introduction de panneaux colorés vient prolonger l'ambiguïté, les signes qu'on y devine sont-ils d'origine religieuse ou des symboles païens, ou liés à un univers carcéral ?


Série : Portrait Viola
Série de 6 portraits inspirés d'un travail "La Visitation" réalisé par l'artiste photographe/vidéaste americain Bill Viola à partir de celui du peintre Pontormo (1528 église de Carmignano près de Florence).
Viola exécute une série de 6 autoportraits vidéographiques, imitant les différentes expressions figurant sur les tableaux du XVIème siècle. Dans cette reprise, "Revisitation", Eric Kaiser boucle la boucle, reprend l'image photographique pour la retraiter en peinture. La palette et la touche du peintre produisent une impression à la fois de jubilation enfantine dans le choix des couleurs et de maturité dans la maîtrise du traité.